— Chronique littéraire | Sous la plume de Garance

“Une plume

poétique

au service d’une histoire originale.”


Que de richesses cachées j’ai retrouvé
Comme autant de cristaux d’améthystes semés
Par une petite fae qui finalement
Me ressemblait étrangement.
— Garance
Au fil des pages on ouvre les portes de notre imagination, on se laisse emporter par ses mots, ses textes si délicats et si bien écrit.
Un grand bravo pour ce si beau voyage poétique.
— Betty F.
La poésie jusqu’au bout de la plume.
— Claudel
J’ai particulièrement savouré les poésies entrecoupant certains chapitres.
Ma préférence en la matière va à votre “Lavandière de Lune” .
— Béatrice W.

Parce qu’on l’aime aussi

Bienvenue dans la saga

La Peau Du Temps

Parce que la routine est ce vilain tour qui veut faire passer les vessies d’hier pour les lanternes d’aujourd’hui...
— demain

Le Tome 1 est déjà disponible.

Un conte initiatique,

sens dessus-dessous,

qui balade...
joyeusement !

De la poésie

à en rêver de parler en prose à sa boulangère, le matin tôt… trop tôt.

Des contes rocambolesques

à en réchauffer son âme d’enfant, sa fougue d’aventurier des sept mers de l’imagination fertile.

Une écriture fantasque

à s’en interroger quant au fonctionnement des rouages de l’esprit d’un auteur qui se dit responsable mais pas coupable.

Un début qui ne se laisse pas conter, une mémoire qui joue au reboot incessant, un "plan" qui s'ignore, des heures à l'envers, il ne manque qu'un élixir de vérité et vous obtiendrez la formule complète pour naviguer entre les lignes et les eaux métamorphes de ce premier opus de " la peau du temps".

249 pages faites de l’étoffe dont sont faits les rêves,
pour se souvenir que la vie est bordée de sommeil.

À lire sans modération.

à propos
de l’auteur.

Catherine Oudihat signe, ici, sa première saga.
Inspirée par la beauté transcendante qu’elle découvre, les larmes aux yeux, auprès d’auteurs tels Frank Herbert, J.R.R. Tolkien, Amélie Nothomb, ou encore Edmond de Rostand… elle écrit comme pour prendre une bouffée d’air pur et laisser couler, en paix, un fleuve turbulent…

“La poésie m’attendait au tournant de ma vie.
Un jour, j’ai tourné.”


Là quelque part entre les mots perdus en bout de langue fourbue
là, je l’ai vu là.
Soudain la poésie est apparue.
— Tempus Fugit.
Parce que la mécanique des jours sérieux déguise le présent, en le mal tricotant, à coup de pelotes si obsolètes qu’on s’en perdrait en arrière-plan.
— la peau du temps #1 | p30_42
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